I am a Famous adolescente en crise

Ce soir, pendant que le monde troyen se regroupe au Famous, et que je m'ennuie à mourir dans ce village nommé Paris, je "surfe" (jamais compris cette expression) sur internet. Et je tombe sur les filles farouches. Nous, les filles farouches. Je lis les articles; des plus anciens aux plus récents. Autant dire tout de suite que je suis choqué, abasourdie, blessée, cognée, commotionnée, déplue, ébranlée, froissée, heurtée, indignée, offensée, offusquée, outrée, révoltée, scandalisée, secouée, soulevée, et même pour finir traumatisée.. Pourquoi? Pourquoi donc, demanderaient mes cher(e)(s) fidèle(s) lectrices, lecteurs (s'il y en a et j'en doute, hélas...). Pour suis-je autant choquée abasourdie, blessée, cognée, commotionnée, déplue, ébranlée, froissée, heurtée, indignée, offensée, offusquée, outrée, révoltée, scandalisée, secouée, soulevée, et pire traumatisée??? Et bien je vais vous dire moi, parce que les articles, mes articles "Ju." n'est pas dans le tas, me paraissent... me paraissent tellement... tellement pitoyables!!! Remplacez Gala. par adolescente en crise, ça reviendra au même. Mais bien que mal à l'aise d'avoir produit de la merde pareille, c'est plutôt sympathique d'être au courant qu'on a évolué dans le bon sens. Enfin "bon", je sais pas mais, se sentir moins superficielle, pathétique, pitoyable et j'en passe.
Je ne peux pas dire que j'ai évolué grâce à Paris, au contraire ça m'as retourné dans tout les sens, résultat une pétasse Parisienne dénuée (trouvez moi un mot que dénué, je le cherche je le trouve pas dé...." ah! depourvu, demunie! ) de valeurs. Mais je viens de m'en rendre compte.



Dans l'attente d'avoir fini ma crise d'adolescence. Apréhendant le jour ou je relirais cet article avec le même sentiment de mal à l'aise qu'aujourd'hui.



Je vous (t') embrasse.




Bien ou bien le Furious?_

Don't Prick!

Tout les articles sont ecrits par les filles farouches, à part phrases entre guillemets et quelques titres. donc ne volez pas

buvons buvons compagnons

3h du matin .
le telephone sonne?
hmm, mademoiselle S , sourit
croit elle aux esprits qui frappent ds les coups des 3h?
non elle n'est pas superstieuse
oui , pourquoi donc sembeter ac des choses dont lexistance est quasi impossible
elle repond cetait une erreur.
ah elle a le sourire au levre .
fixe la coupe de champagne pose sur sa commode vernis.
la desire comme Nicolas
et la boit , d'un trait , d'une gorgee.
la fievre de seduire la remplie.
le desir de rire l'inonde .
la sensualite des gestes la fait tressaillir .
elle enfile son boxer noir,
entour ces seins du soutien goerge en dentelle
et depose du gloss sur ces levres .
enfile son jean levis's et un tee shirt petit bateau
mademoiselle S naime guere les artifices :sa beaute naturelle et
son charme et son esprit vivace l'ont toujours place au dessus des autres.
dans tous les domaines.
parti dans cette folie , elle sort,appelle un taxi,
met son ipod et se rent a Kingclub.
boite privee de Londres.
et La commence alors la vraie vie
la vie ou tout est parmi
oublions les bonnes manieres du train train habituelle
dans une societe "normalise"
c'est pour ca qu'elle ferma les yeux
pris sa poudre blanche
et sen alla
se dechaina
et rigolait
oui , toujours le sourire.
la vie est tellement belle se disait elle pourquoi ne pas lui faire plaisir?
cetait une sorte d'ingenue mademoiselle S .
aimable petite conne.
6h sonna .
ce netait qu'un reve.
la realite commencait.
ju