dimanche 26 août 2007

Aimer la vie, Aimer l'avis...


J'ai une envie de dégueuler sur cette population, stereotype meme de la betise. Population dans un village. Village aux quelques magazins, village aux petites rues, village aux gens desespérés. Je pleure en les regardant, j'hurle en leur parlant, je meurs en les écoutant. Cette population qui s'endort dans le même rêve chaque nuit, chaque soir qui boit au même bar, chaque matin qui se reveille pour affronter leur journée sans avenir. Cette population qui reste où elle est. Cette population qui ne changera jamais. Cette population qui connait déja, mais qui ne bougera pas. Cette population pour qui demain sera un jour comme les autres. Vous trepasserez ici. Partir serait incongru a toutes vos règles de vie. Vous qui connaissez votre jolie ville par coeur, pourquoi risquer de repartir à zero dans une autre? Vous apprehendez trop le fait de vous confondre à la foule. Le fait de ne pas être reconnue. Une journée daccord pour un peu de shopping, se ravitaillez dans les habits branchés du moment qui ne font encore pas fureur dans votre petite ville de merde. Et vous revenez, on vous regarde enfin comme un ami, ou comme un con. Tout dépend de votre reputation. Mais ici on aime les gens à la façon dont il s'habille. S'il est beau, s'il se drogue. Quelles clopes il fume? A quel bar il va? Vous vous en foutez à vrai dire, mais c'est une apparence que vous construisé depuis des mois entier, il n'est pas question de la detruire pour la première et seule personne que vous ayez rencontré de bien, car cette personne ne sort pas le soir, et elle a même pas de cuir. Alors Vous, populasse sans vergogne, qui vous sequestré dans un bulbe infecté de paroles sans interêts, d'une intelligence qui ne jouira jamais de l'épanouissement que le monde nous offre, de rêves qui ne vont n'iront jamais au delà de la vie que vous menez, d'espoirs sans avenir, de promesses sans réponses, de routes éphémères... Vous pouvez fermez votre gueule.
Vous êtes bornés. Vous êtes incultes. Et dépendant de votre vie de merde. Cette vie qui ne changera pas. Vous qui êtes curieux d'un seule chose, celle de conaitre la vie des autres, car cette vie, c'est les seules découvertes que vous pourrez faire dans votre bulle qui se retrecit de jour en jour. Vous jugez ceux qui vivent réellement, ceux qui animent les potins, vous les exploitez. Mais malgré votre incompétence à réflechir, vous savez très bien, que vous ne faites que parler et que vous ne profitez pas de la vie, par peur que ce soit votre tour d' animer ces putains de rumeurs trop souvent incohérentes, vous devez bien savoir, du moins au fond de vous même que c'est vous les cons. Malgré votre fierté non mérité, vous êtes cons. Vous qui vous vous vantez de ne pas reculer, et qui vous vous forcez d'oublier que vous n'avez pas non plus avancez. Restez la où vous êtes, et ne bougez de votre statut de con, moi je pars quelque part, je ne sais pas où et on verra bien, mais la vie toute tracée que vous menez me rend claustro, cette putain d'existence qui n'en ai même pas une, que vous pensez vivre en buvant de la bière, en fumant de la drogue, et en allant aux Tricasse, je la hais, autant que je vous hais, vous irrévocables menteurs desinterréssé de l'instruction qui touche d'autres sujets que celui de la ville de Troyes. Je vous souhaite tout le bonheur du monde, ou plutot du village (h&m et Mcdonald), bien que je n'y crois même pas une seule seconde.

Vous trepasserez ici.

gala

dimanche 5 août 2007

Ce sera tout, merci.


Tu lui donne rendez vous dans un bar vide. Tu lui donne rendez vous pour discuter autour d'un café. Tu lui donnes rendez vous avec quelque chose de specifique à lui dire. Tu lui donnes rendez vous pour lui reprocher d'avoir changer. Et elle, elle vient, car elle t'a aimer, elle vient car elle veut encore te regarder, elle vient car elle ne ta pas oublier, elle vient car elle ne veux pas t'oublier, elle vient dans l'espoir de te plaire de nouveau. Elle vient. C'est tout.

Tu lui parle de tes sentiments. De sentiments dont elle ne fait pas partie. Tu lui parle de ses nouvelles relations. Des relations que tu ne veux pas. Tu lui parles de toi. Toi qu'elle souhaite posseder. Tu lui parles de l'avenir. L'avenir qui se passera sans elle. Tu lui parles de tout et de rien. TOUT qui n'est rien pour elle, car plus RIEN avec elle, ce sera tout pour toi(merci).

Les tasses de cafés vidées, les cigarettes consumées, la conversation terminée.
Tu demande l'addition.
Plus un mot. A quoi elle pense? A toi.
Le serveur te l'apporte. Il te la donne cette putain d'adition. Il te la donne de la même facon que tu lui as donné a elle.

Tu comprends? Je m'explique...
Tu lui as donné l'addition, alors qu'elle, elle pensait encore au dessert.


gala.